22/06/2014

Beau couteau Ponson

Bonjour, me revoilà avec une suite à l'histoire du couteau Le Thiers.

Comme je vous l'avais dit au début du reportage précédent (clic ici pour le relire), j'étais parti sur Thiers pour acheter un beau couteau, faire un cadeau à quelqu'un de proche.
Bon, je me suis faite happée par autre chose et je me suis d'abord offert un couteau fabriqué de mes mains. Et c'est bien évidemment sans regret.
Mais revenons-en au cadeau initial. Un vrai couteau, de qualité, avec un beau manche.

Voici donc celui sur lequel j'ai craqué et qui, je l'espère, correspond à son propriétaire qui l'a réceptionné en cadeau. Un PONSON.


Pourquoi est-il plus intéressant que le petit Le Thier fabriqué à l'atelier (et que d'autres en vente en magasin également) ?

D'abord parce que son dos est travaillé (l'esthétique c'est important pour celui qui aime les couteaux) :


Surtout, et c'est important pour l'hygiène et pour les femmes (et leur nappe de table), parce que la lame ne touche pas la surface une fois le couteau posé :



Comme vous pouvez le remarquer, il tient sur la tranche et ne touche pas non plus la surface.
Sans oublier que posé sur le rebord de l'assiette, il ne glisse pas, ne tourne pas non plus, qu'il soit sur le début de lame ou en profondeur de la lame. C'est pas bien réfléchi tout ça ?

Enfin et pas des moindre, pour les puristes qui le garde sans cesse dans la poche du jean, le manche du couteau est arrondi pour ne pas faire des trous dans le tissu !


Regardez bien Le Thiers d'entrée de gamme que j'ai fabriqué sur le précédent article pour comparaison (clic ici). Il n'a aucun de ces atouts.

Alors, je vous ai appris plein de choses ? 
Et bien il y en a encore plein d'autres mais je vous invite à aller à l'encontre des professionnels sur place pour en profiter de façon plus intense et vous en mettre plein les yeux.

KurO'

1 commentaire:

  1. Très belles photos, beau reportage, bon commentaire.

    Et pourtant, j'ai hésité à faire un commentaire... Pourquoi ?

    Eh bien, je crains que nous soyons désormais à couteaux tirés !

    Maurice.

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